Il arrive souvent qu’on ait des photographies à placer dans un événement existant. Voici quelques astuces pour faciliter ce travail.
Quand on importe de nouvelles photos dans iPhoto version 7, le logiciel crée un événement sans titre avec une date qui peut être extraite des données EXIF des fichiers images ou sinon avec la date système au moment de l’importation.
Si la date de ce nouvel événement est proche de l’événement existant où vous voulez les placer, alors il n’y a pas de problème. Dans la vue par événements, vous faites glisser le dernier créé et vous le déposer sur l’événement en question. Les photos y seront déplacées.
Mais si les deux dates sont éloignées, ce peut être laborieux de faire défiler les événements jusqu’à trouver celui qui va recevoir les nouvelles images. Et le risque n’est pas négligeable de mettre par erreur les images dans un événement voisin.
Il y a une méthode beaucoup plus simple et plus sûre. Les photos que vous voulez déplacer sont dans la vue « Dernière importation » parmi les vues « RECENTS ». Si vous ouvrez l’événement qui doit recevoir vos photos, il apparaîtra également dans la liste des vues « RECENTS ». Il ne vous reste plus qu’à afficher les images à classer et à les faire glisser à gauche sur la vue de l’événement où vous voulez les y mettre.
Et si les photos à déplacer ne sont pas issues d’une importation récente, mais disséminées dans d’autres événement, cette méthode est objectivement la seule à appliquer. Il suffit en effet de marquer les photos à déplacer (les « signaler »). Ces photos marquées sont alors regroupées dans la vue « Signalées » et vous pouvez procéder de la même façon que précédemment pour les déplacer dans l’événement de votre choix.
samedi 30 août 2008
jeudi 28 août 2008
plustek OpticFilm 7300
Je recherchais une solution pas trop chère pour numériser mes anciennes photographies argentiques afin de compléter ma photothèque iPhoto. La numérisation des photos tirées sur papier aurait pu être suffisante si les photos n’avaient pas été collées dans des albums; et puis, il a a les diapositives. Il me fallait donc une solution permettant de numériser les négatifs et les diapositives.
Ayant déjà un scanner à plat, je n’envisageais pas d’en acquérir un autre permettant de scanner les transparents. J’ai donc cherché du côté des scanners spécialisés. Par ailleurs, je ne voulais pas non plus que le prix de cet appareil atteigne des sommets, mon besoin n’étant pas du tout celui d’un professionnel.
J’aurais pu d’ailleurs confier le travail à un photographe. Une enseigne comme Phox propose ce service pour un côut de 8 € les 24 photos. Pour un ensemble de 1000 photos, ça me reviendrait à un peu plus de 300 €. Mon budget était donc de cet ordre pour que l’affaire soit rentable en tenant compte du fait qu’un appareil dédié est plus souple, n’ayant pas besoin de pré-sélectionner les photos réellement intéressantes avant de les confier au photographe.
Exit donc les scanners Nikon, sans doute très bien, mais qui ne correspondent pas à mon besoin ni à mon budget.
Je me suis donc orienté vers les appareils grand public de la marque plustek. Cette marque propose d’ailleurs toute une gamme allant de moins de 200 € jusqu’à 500 €. Encore fallait-il que l’appareil soit compatible Mac. Qu’est-ce que ça signifie d’ailleurs ? Ils sont tous connectables en USB et ne nécessitent qu’un logiciel capable de le piloter. Or dans la gamme plustek, en dehors de quelques aspects techniques qui les différencient, tous sont fournis avec une application SilverFast de Lasersoft Imaging et selon le modèle, cette application est ou non compatible avec Mac OS (la gamme OpticFilm 7200). Il ne reste alors que les modèles 7300 et 7500, ces derniers étant à vocation plus professionnelle et sont nettement plus chers. Le modèle 7300 ne coûte que 250 €; il est compatible Mac et correspond parfaitement à mon besoin.
Sitôt dit, sitôt fait, je le commande et quelques jours plus tard, il m’est livré.
L’appareil n’est pas très volumineux ni lourd et il peut facilement être posé à côté de l’ordinateur. Il est fourni avec un câble d’alimentation (sans prise de terre) et un câble USB. Les négatifs ou les diapositives doivent être positionnés dans l’un des caches fournis et cela se fait sans problème. Attention toutefois : le passage des vues se fait manuellement et latéralement de droite à gauche quand on regarde l’appareil; il faut donc prévoir un peu d’espace de part et d’autre pour cette manoeuvre. Sur le dessus de l’appareil, un lampe en rétro-éclairage permet de voir la diapositive comme sur une table de lumière; très pratique pour en vérifier le contenu.
L’installation du logiciel SilverFast est simple. Il est recommandé de télécharger la dernière version sur le site de l’éditeur. Pour ça, vous devez vous inscrire sur le site avec le code de licence qui figure sur la boite fournie avec le scanner. La seule difficulté - parce que le message n’est pas clair - est qu’il faut insérer le CD au moment où vous entrez le code de licence pour déverrouiller le logiciel. Heureusement le support de l’éditeur est rapide et efficace : ils ont répondu même dans la soirée à la question que je leur ai posée sur le site.
Ce logiciel est parfois présenté comme difficile d’accès à cause des nombreux réglages. En fait, on peut se contenter de quelques réglages simples sans se prendre la tête avec des sophistications inutiles.
La première question à se poser est quelle résolution adopter pour les photos obtenues. Le scanner peut aller jusqu’à 7200 dpi, ce qui donne des fichiers énormes pour des tirages gigantesques. La dimension de l’image restant à celle du négatif, soit 24 x 36 mm environ, il faut compenser cette taille par une résolution plus élevée que le classique 72 dpi. Après quelques essais, j’ai opté pour une résolution de 1800 dpi, ce qui donne des fichiers JPEG d’environ 2 Mo en top qualité. Ca correspond à des photos d’un appareil de 4 Mpixels, largement suffisant pour même envisager des tirages papier.
Ensuite, on peut appliquer divers traitements à l’image dans le but de l’améliorer. Le plus simple est de tester ces fonctions et de ne retenir que celles qui semblent les plus pertinentes. Certaines fonctions par exemple nécessitent plusieurs passes et rallongent d’autant le temps de la numérisation. Celui-ci demeure toutefois acceptable et tout se passe en un seul clic.
J’ai déjà indiqué que le passage des vues se fait manuellement. Le support à diapositive peut en contenir 4 au maximum et le support à négatifs peut porter des bandes allant jusqu’à 6 photos. J’ai des vieux films dont les négatifs m’étaient livrés non coupés; il faudra donc jouer avec les ciseaux.
Le positionnement des diapositives est simple et rapide : l’emplacement prévu a exactement la taille standard et chaque vue est parfaitement maintenue. Pour les films à négatif, c’est un peu plus délicat : il n’y a que quelques repères pour guider le film et il faut positionner la bande de manière à faire coïncider la séparation des vues avec les cadres qui délimitent ces mêmes vues su le support. Parfois, la bande est un peu courte et le positionnement n’est pas aisé. Ensuite, il faut refermer le support pour que la bande soit maintenue et cela cause parfois un léger glissement de ladite bande; il faut alors essayer de la re-positionner sans l’abîmer. Parfois aussi, la bande de négatifs est incurvée si elle a été enroulée sur un support en carton (dans le temps, ça se faisait) et ça non plus ne facilite pas le positionnement. Heureusement, au bout d’un moment, on prend le coup et tout se passe assez bien.
Le logiciel SilverFast permet de traiter chaque vue indépendamment pour par lot. Le choix par lot est parfait pour enchaîner les numérisations puisqu’on fixe à l’avance le début du nom des fichier et le reste est complété par le logiciel qui incrément un compteur.
Par contre, il est important de prendre le temps d’afficher une pré-visualisation avant la numérisation de chaque vue car il peut être nécessaire de rectifier le cadre qui délimite la zone à scanner. A moins de définir un cadre assez large et d’accepter des zones noires autour des photos, quitte à les rectifier après coup dans iPhoto ou tout autre logiciel. Dans ce cas, le traitement d’un lot est rapide :
- placer la vue dans le scanner
- lancer le scan
- valider le nommage du fichier
- passer à la vue suivante
J’ai commencé le travail par les diapositives et je dois dire que je suis satisfait du résultat.
Ayant déjà un scanner à plat, je n’envisageais pas d’en acquérir un autre permettant de scanner les transparents. J’ai donc cherché du côté des scanners spécialisés. Par ailleurs, je ne voulais pas non plus que le prix de cet appareil atteigne des sommets, mon besoin n’étant pas du tout celui d’un professionnel.
J’aurais pu d’ailleurs confier le travail à un photographe. Une enseigne comme Phox propose ce service pour un côut de 8 € les 24 photos. Pour un ensemble de 1000 photos, ça me reviendrait à un peu plus de 300 €. Mon budget était donc de cet ordre pour que l’affaire soit rentable en tenant compte du fait qu’un appareil dédié est plus souple, n’ayant pas besoin de pré-sélectionner les photos réellement intéressantes avant de les confier au photographe.
Exit donc les scanners Nikon, sans doute très bien, mais qui ne correspondent pas à mon besoin ni à mon budget.
Je me suis donc orienté vers les appareils grand public de la marque plustek. Cette marque propose d’ailleurs toute une gamme allant de moins de 200 € jusqu’à 500 €. Encore fallait-il que l’appareil soit compatible Mac. Qu’est-ce que ça signifie d’ailleurs ? Ils sont tous connectables en USB et ne nécessitent qu’un logiciel capable de le piloter. Or dans la gamme plustek, en dehors de quelques aspects techniques qui les différencient, tous sont fournis avec une application SilverFast de Lasersoft Imaging et selon le modèle, cette application est ou non compatible avec Mac OS (la gamme OpticFilm 7200). Il ne reste alors que les modèles 7300 et 7500, ces derniers étant à vocation plus professionnelle et sont nettement plus chers. Le modèle 7300 ne coûte que 250 €; il est compatible Mac et correspond parfaitement à mon besoin.
Sitôt dit, sitôt fait, je le commande et quelques jours plus tard, il m’est livré.
L’appareil n’est pas très volumineux ni lourd et il peut facilement être posé à côté de l’ordinateur. Il est fourni avec un câble d’alimentation (sans prise de terre) et un câble USB. Les négatifs ou les diapositives doivent être positionnés dans l’un des caches fournis et cela se fait sans problème. Attention toutefois : le passage des vues se fait manuellement et latéralement de droite à gauche quand on regarde l’appareil; il faut donc prévoir un peu d’espace de part et d’autre pour cette manoeuvre. Sur le dessus de l’appareil, un lampe en rétro-éclairage permet de voir la diapositive comme sur une table de lumière; très pratique pour en vérifier le contenu.
L’installation du logiciel SilverFast est simple. Il est recommandé de télécharger la dernière version sur le site de l’éditeur. Pour ça, vous devez vous inscrire sur le site avec le code de licence qui figure sur la boite fournie avec le scanner. La seule difficulté - parce que le message n’est pas clair - est qu’il faut insérer le CD au moment où vous entrez le code de licence pour déverrouiller le logiciel. Heureusement le support de l’éditeur est rapide et efficace : ils ont répondu même dans la soirée à la question que je leur ai posée sur le site.
Ce logiciel est parfois présenté comme difficile d’accès à cause des nombreux réglages. En fait, on peut se contenter de quelques réglages simples sans se prendre la tête avec des sophistications inutiles.
La première question à se poser est quelle résolution adopter pour les photos obtenues. Le scanner peut aller jusqu’à 7200 dpi, ce qui donne des fichiers énormes pour des tirages gigantesques. La dimension de l’image restant à celle du négatif, soit 24 x 36 mm environ, il faut compenser cette taille par une résolution plus élevée que le classique 72 dpi. Après quelques essais, j’ai opté pour une résolution de 1800 dpi, ce qui donne des fichiers JPEG d’environ 2 Mo en top qualité. Ca correspond à des photos d’un appareil de 4 Mpixels, largement suffisant pour même envisager des tirages papier.
Ensuite, on peut appliquer divers traitements à l’image dans le but de l’améliorer. Le plus simple est de tester ces fonctions et de ne retenir que celles qui semblent les plus pertinentes. Certaines fonctions par exemple nécessitent plusieurs passes et rallongent d’autant le temps de la numérisation. Celui-ci demeure toutefois acceptable et tout se passe en un seul clic.
J’ai déjà indiqué que le passage des vues se fait manuellement. Le support à diapositive peut en contenir 4 au maximum et le support à négatifs peut porter des bandes allant jusqu’à 6 photos. J’ai des vieux films dont les négatifs m’étaient livrés non coupés; il faudra donc jouer avec les ciseaux.
Le positionnement des diapositives est simple et rapide : l’emplacement prévu a exactement la taille standard et chaque vue est parfaitement maintenue. Pour les films à négatif, c’est un peu plus délicat : il n’y a que quelques repères pour guider le film et il faut positionner la bande de manière à faire coïncider la séparation des vues avec les cadres qui délimitent ces mêmes vues su le support. Parfois, la bande est un peu courte et le positionnement n’est pas aisé. Ensuite, il faut refermer le support pour que la bande soit maintenue et cela cause parfois un léger glissement de ladite bande; il faut alors essayer de la re-positionner sans l’abîmer. Parfois aussi, la bande de négatifs est incurvée si elle a été enroulée sur un support en carton (dans le temps, ça se faisait) et ça non plus ne facilite pas le positionnement. Heureusement, au bout d’un moment, on prend le coup et tout se passe assez bien.
Le logiciel SilverFast permet de traiter chaque vue indépendamment pour par lot. Le choix par lot est parfait pour enchaîner les numérisations puisqu’on fixe à l’avance le début du nom des fichier et le reste est complété par le logiciel qui incrément un compteur.
Par contre, il est important de prendre le temps d’afficher une pré-visualisation avant la numérisation de chaque vue car il peut être nécessaire de rectifier le cadre qui délimite la zone à scanner. A moins de définir un cadre assez large et d’accepter des zones noires autour des photos, quitte à les rectifier après coup dans iPhoto ou tout autre logiciel. Dans ce cas, le traitement d’un lot est rapide :
- placer la vue dans le scanner
- lancer le scan
- valider le nommage du fichier
- passer à la vue suivante
J’ai commencé le travail par les diapositives et je dois dire que je suis satisfait du résultat.
dimanche 24 août 2008
Cloture des jeux olympiques à Pékin
Ainsi donc, les français auront terminé ces jeux en beauté avec une ultime médaille d'or bien méritée en Hand-Ball. Comme d'habitude, les médailles françaises ont été en grande partie inattendues ou en tous cas peu médiatisées avant les épreuves. Ce n'est pas forcément un mal à la condition que les fédérations non "récompensées" se remettent en cause, ce qui est loin d'être le cas.
Côté organisation, les chinois ont vraiment assuré : tout était presque parfait, nonobstant quelque zèle pour appliquer le règlement. Prenons-en de la graine.
La France termine au 10è rang selon le classement officiel par nombre de médailles d'or, puis d'argent et enfin de bronze. En nombre total de médailles, la France se classe au 7e rang avec 40 médailles. Mais si on établit un classement pondéré en donnant, par exemple, 10 points à une médaille d'or, 3 points à une médaille d'argent et 1 point à une médaille de bronze, alors la France se classe au 8e rang.
Côté organisation, les chinois ont vraiment assuré : tout était presque parfait, nonobstant quelque zèle pour appliquer le règlement. Prenons-en de la graine.
La France termine au 10è rang selon le classement officiel par nombre de médailles d'or, puis d'argent et enfin de bronze. En nombre total de médailles, la France se classe au 7e rang avec 40 médailles. Mais si on établit un classement pondéré en donnant, par exemple, 10 points à une médaille d'or, 3 points à une médaille d'argent et 1 point à une médaille de bronze, alors la France se classe au 8e rang.
Restaurer un compte administrateur sous Leopard
Il m’est arrivé d’avoir à dépanner un Macbook dont le seul et unique compte n’avait pas les droits d’administrateur (le compte est devenu un compte « standard »). Voici comment j’ai procédé.
Si on essaie de modifier les données du compte dans les préférences système, Mac OS X demande de s’identifier avec un compte d’administration. Malheureusement, ce compte n’existe plus puisque le seul compte a justement perdu ses droits d’administrateur.
Tout d’abord, il faut démarrer avec le DVD du système (touche « C » au moment du boot). Bien sûr, il n’est pas question de réinstaller le système, mais on va utiliser une fonction permettant de ré-initialiser le mot de passe des comptes.
Dans le menu « Utilitaires », sélectionnez l’option « Réinitialisation du mot de passe ». Dans le dialogue affiché à l’écran, il y a deux options : ré-initialisation du mot de passe du compte de l’utilisateur et ré-initialisation du mot de passe du compte « root ». Ré-initialiser le mot de passe du compte de l’utilisateur n’a aucun intérêt puisque ce compte n’a plus les droits d’administration. C’est celui du compte « root » dont il faut s’occuper. Ce compte spécial est aussi appelé « super-administrateur »; il a beaucoup plus de droits qu’un simple compte, même avec des droits d’administrateur. Donc, modifiez le mot de passe de ce compte, éventuellement en le mettant à blanc (attention toutefois si votre ordinateur tombe entre de mauvaises mains, il n’y a aura rien pour empêcher l’accès à des données confidentielles).
Ceci fait, redémarrez normalement l’ordinateur avec votre compte habituel. Dans les préférences système, dé-verrouillez l’accès à votre compte en utilisant le compte « root » et le mot de passe que vous avez saisi précédemment.
Dès lors, il vous est possible de modifier votre compte et de le transformer à nouveau en compte administrateur.
Si on essaie de modifier les données du compte dans les préférences système, Mac OS X demande de s’identifier avec un compte d’administration. Malheureusement, ce compte n’existe plus puisque le seul compte a justement perdu ses droits d’administrateur.
Tout d’abord, il faut démarrer avec le DVD du système (touche « C » au moment du boot). Bien sûr, il n’est pas question de réinstaller le système, mais on va utiliser une fonction permettant de ré-initialiser le mot de passe des comptes.
Dans le menu « Utilitaires », sélectionnez l’option « Réinitialisation du mot de passe ». Dans le dialogue affiché à l’écran, il y a deux options : ré-initialisation du mot de passe du compte de l’utilisateur et ré-initialisation du mot de passe du compte « root ». Ré-initialiser le mot de passe du compte de l’utilisateur n’a aucun intérêt puisque ce compte n’a plus les droits d’administration. C’est celui du compte « root » dont il faut s’occuper. Ce compte spécial est aussi appelé « super-administrateur »; il a beaucoup plus de droits qu’un simple compte, même avec des droits d’administrateur. Donc, modifiez le mot de passe de ce compte, éventuellement en le mettant à blanc (attention toutefois si votre ordinateur tombe entre de mauvaises mains, il n’y a aura rien pour empêcher l’accès à des données confidentielles).
Ceci fait, redémarrez normalement l’ordinateur avec votre compte habituel. Dans les préférences système, dé-verrouillez l’accès à votre compte en utilisant le compte « root » et le mot de passe que vous avez saisi précédemment.
Dès lors, il vous est possible de modifier votre compte et de le transformer à nouveau en compte administrateur.
jeudi 21 août 2008
Guillaume Musso - Parce que je t'aime
Un peu à la manière du cinéaste Claude Lelouch, Guillaume Musso bâtit son roman autour de personnages qui n'auraient rien en commun si ce n'est justement que tout les relit autour d'un drame. La structure du roman est fondée sur de nombreux flash-backs qui éclairent ces liens insoupçonnés; pour l'un d'eux, la surprise est totale jusqu'au dénouement. La thérapie de groupe qui va leur permettre de se re-construire est introduite de manière particulièrement habile dans la trame de l'histoire. Au final, un des meilleurs romans de cet écrivain décidément très talentueux.
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2008,
Littérature,
Musso,
Roman
lundi 18 août 2008
Jean Teulé - le magasin des suicides
Ce roman est une petite merveille de littérature. Le sujet peut paraître macabre et de mauvais goût, mais l'humour est présent à chaque page. Les personnages ressemblent à la famille Groseille du film "La vie est un long fleuve tranquille" : grotesques mais tellement attachants.
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Roman,
Teulé
vendredi 15 août 2008
Marc Levy - Les enfants de la liberté
Sortant de ses romans à la limite du fantastique, Marc Levy nous entraîne ici dans la seconde guerre mondiale et plus particulièrement la résistance. Il raconte avec le même talent la vie et la mort de jeunes gens étrangers mais qui se battent pour la liberté de leur pays d'adoption. Le très jeune âge des protagonistes rend le récit particulièrement attachant. L'auteur mêle habilement des événements réels à ses personnages de fiction, les plaçant même au coeur de l'action résistante.
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Roman
lundi 4 août 2008
Paul Auster - La nuit de l'oracle
Ce roman commence par raconter la genèse d'un roman. Une histoire dans l'histoire; et pour rendre les choses plus compliquées encore, le point central de cette narration est un roman dont le héros a hérité. Par ailleurs, de nombreuses notes de bas de page faisant office de flash-backs s'étendent en fait sur plusieurs feuillets, ce qui ne rend pas la lecture des plus faciles à suivre. Et puis l'histoire initiale tourne au drame familial qui manque un peu de force. Malgré tout, un roman agréable à lire.
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