La boîte contenant l'appareil montre déjà qu'on n'a pas affaire à une marque de supermarché. On a droit à une solide boîte en carton de couleur grise qui s'ouvre facilement malgré plusieurs rabats. Même la re-fermeture est simple et rapide, ce qui est rare dans ce genre d'emballage.
A l'intérieur, on trouve d'abord les manuels (en plusieurs langues), le bon de garantie et les CD-ROM (anglais/allemand et français) placés sur le dessus. Ensuite, on trouve l'appareil photo lui-même, une petite carte mémoire de 64 Mo (le modèle chez Panasonic se contente de la mémoire interne de 13 Mo), la batterie et sa petite boîte de rangement. Et puis, au fond de la boîte, les câbles vidéo et USB et les cordons : une dragonne pour l'appareil lui-même et un tout petit cordon pour retenir le capuchon de l'objectif.
Le CD-ROM contient le logiciel Photoshop Elements pour Windows (version 4) et Mac (version 3). Grâce à un plug-in gratuit, on peut utiliser ce logiciel pour développer les fichiers RAW que l'appareil est capable de produire.
Le premier contact avec l'appareil photo lui-même est une impression de solidité et de très bonne fabrication. A noter que la plaque fixée en dessous indique qu'il est fabriqué au Japon et non pas en Allemagne ! sans doute dans les usines Panasonic aux côtés de son jumeau nippon, le Lumix LX2. A moins que ce dernier soit lui, fabriqué en Chine !
Le boîtier est tout petit malgré son grand écran dorsal (pas de viseur) et son objectif proéminent. Il ne pèse pas bien lourd et c'est tant mieux. J'insère donc la batterie que j'avais pris la peine de préparer, la petite carte mémoire, en attendant de m'en procurer une plus conséquente. J'enfile la dragonne et le cordon du capuchon. La petite trappe qui donne accès aux prises USB et vidéo est à l'image de l'ensemble : on ne craint pas qu'elle finisse par se casser.
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